Les couches de peinture blanche et transparente effacent et dissimulent les espaces les géométries rouges et vibrantes à l’arrière du tableau. On décèle à peine les prairies de couleurs printanières, les verts et les jaunes rieurs.
L’artiste, protège, soigne, estompe la symphonie chromatique antérieure laissant le spectateur contempler la radiographie mélancolique d’un passé révolu.
Les couches de peinture blanche
et transparente effacent et dissimulent les espaces les géométries rouges et
vibrantes à l’arrière du tableau. On décèle à peine les prairies de couleurs
printanières, les verts et les jaunes rieurs.
L’artiste, protège, soigne,
estompe la symphonie chromatique antérieure laissant le spectateur contempler
la radiographie mélancolique d’un passé révolu.